Sublimation

Marie Meurdrac (1610-1680)  Chimiste, apothicaire et botaniste du XVIIe siècle. Elle a publié un traité en 1666 sous le titre de « La Chymie charitable et facile, en faveur des dames » qui s’adressait à un public féminin.

Mazlan Binti Othman (1951- )  Astrophysicienne, 2 fois directrice du Bureau des Nations Unies pour les affaires spatiales . Cheffe du projet Angkasawan qui a vu le 1er astronaute malaisien dans l’espace.

Marian Ewurama Addy (1942-2014)  1ère femme professeure de sciences au Ghana (en biochimie), spécialiste des plantes médicinales. Présentatrice de l’émission de TV sur les sciences et les mathématiques du Ghana entre 1994 et 2000

Jean Bartik (1924-2011)  Pionnière de l’informatique aux USA, elle a joué un rôle fondamental (avec 5 autres femmes) dans la programmation de l’E.N.I.A.C., le 1er calculateur numérique électronique programmable connu.

Pamela Estephania Harris (1983- )  Mathématicienne, professeure associée au Williams College et cofondatrice de la plateforme en ligne Lathisms destiné à faire connaître les mathématicien(ne)s hispaniques

June M. Lindsey (1922-2021)  Physicienne spécialiste de la cristallographie aux rayons X qui a joué un rôle déterminant dans l’élucidation de la structure de l’ADN en résolvant la structure de l’adénine et de la guanine.

Meriem El Yajouri, est marocaine , titulaire d’un doctorat en astronomie de l’Observatoire de Paris; lauréate du prix de thèse 2018 de l’Union Astronomique Internationale (UAI), un prix d’excellence pour récompenser les meilleurs thèses des 9 divisions de l’UAI. Elle est également présidente de l’association SpaceBus Maroc, coordinatrice nationale du Bureau de la vulgarisation en astronomie (OAO-NOC) de l’Union Astronomique Internationale et occupe actuellement le poste de gérante de la société Titritland (1ère entreprise au Maroc qui délivre des produits et services en Astronomie).

Marion Caen Créhange (1937-2022)  Professeure au département informatique de l’IUT de l’Université de Nancy et 1ère scientifique en France à avoir obtenu un doctorat en informatique. Spécialiste des systèmes d’information.

Je m’appelle Betelehem Bilata et suis actuellement chercheuse associée à l’Institut éthiopien des sciences et technologies spatiales (ESSTI) en Ethiopie, pays où je vis et d’où je suis originaire.

Lorsque j’étais lycéenne, je m’intéressais à l’astronomie. Mais je ne pensais pas qu’étudier l’astronomie pouvait marcher dans mon pays. Je pensais que je ne pourrais pas en vivre. À l’époque, je n’avais pas de modèle dans mon pays (une femme astronome) dont je pouvais m’inspirer. Mais je suis entrée à l’université et j’ai étudié la physique. Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai eu la chance de travailler à l’université. Après un an en tant qu’assistante diplômée, j’ai eu la chance de commencer ma maîtrise. Puis je me suis lancée dans ma passion. J’ai étudié l’astronomie et l’astrophysique. Aujourd’hui, je travaille dans un institut de recherche qui se concentre sur l’astronomie et les domaines liés à l’espace.

Rihab Sadik (1992- )  Ingénieure marocaine biomédicale de formation, elle travaille au centre de contrôle des missions de la NASA à Houston en charge de surveiller les indicateurs vitaux des astronautes.